Edit: pas sur comment ça s'est retrouvé dans l'autre sujet, forum Hacké !
Ça va commencer à s'effrité de partout, j'ai l'impression et si on en chanceux sa aura replacé les balanciers dans des endroits intéressant la dérive woke (si on est malchanceux on aura des Poilievre en puissance):
https://www.ledevoir.com/societe/772347/appels-de-candidatures-l-exclusion-des-hommes-blancs-d-appels-de-candidatures-fait-l-objet-de-plaintesMême si quelqu'un serait d'accord avec des quotas de minorités (et non pas à l'embauche, mais en nombre absolu d'employés en telle année ce qui est ridicule pour des secteurs avec des employés à long terme) L'idée que l'université Laval et même celle de Rimouski aurait le même quota que celle de Toronto ce doit d'être perçu comme une mauvaise idée par tout le monde.
Ottawa a fixé des cibles de diversité à la suite d’un jugement de la Cour fédérale qui a fait l’objet d’un ajout en 2019. Celui-ci vise à réparer un déséquilibre historique dans la représentation des minorités. Les cibles pour décembre 2029 sont de 50,9 % pour les femmes, de 22 % pour les minorités visibles, de 7,5 % pour les personnes handicapées et de 4,9 % pour les Autochtones. Les universités s’approchent de l’objectif : des données du Programme des chaires de recherche du Canada montrent qu’en septembre 2022, la représentation pour les « femmes et personnes de minorités de genre » était de 44,3 %, de 24,9 % pour les personnes racisées, de 6,1 % pour celles ayant un handicap et de 3,8 % pour les Autochtones.
On remarquera qu'au Canada les minorités visibles sont sans surprise déjà "surreprésenté" dans l'académique, probablement selon le pourcentage dans la tranche d'âge non retraité et leur niveau d'éducation... mais quand même.
Pour y parvenir, des universités d’un peu partout au pays excluent dès le départ les candidatures d’hommes blancs aux postes de chaires de recherche financées par le fédéral
On a créer un monde dans lequel:
L’Université Laval ajoute de son côté qu’un candidat ne peut pas obtenir un poste à une chaire de recherche canadienne s’il ne remplit pas un formulaire d’auto-identification. Consulté par Le Devoir, celui-ci comprend des questions avec des choix de réponse détaillés sur le genre, l’orientation sexuelle, l’identité autochtone, l’appartenance à une minorité visible et la présence d’un handicap.
Il est considéré non seulement légal voir correct de demander l'orientation sexuelle d'un candidat pour une job de chercheur sur la transmission d'onde cellulaire… Selon certain, il serait de la bigoterie de ne pas le demander.