Dans mon domaine par exemple, les femmes n'ont généralement pas de misère à s'imposer.
Dans mon domaine, les femmes sont très souvent une source de wtf.
Grâce aux merveilleux programmes d'accès égalitaire à l'emploi, je me retrouve souvent dans des réunions d'ingénierie avec une moitié de femmes qui ont autant d'affaire là qu'un chien dans un jeu de quille.
J'entends par là qu'elles n'ont aucune idée de ce qui se parle et sont engagées juste parce que c'est des filles. C'est ça l'égalité des chances maintenant: ethnies, filles, homosexuels, compétence. Dans cet ordre.
J'en prend pour preuve les questions qu'elles posent et les dilemmes pas rapport qu'elles soulèvent qui font que les meetings s'éternisent sur des esties de détails qui pourraient se régler en 3/4 de seconde en dehors de la réunion.
Le gros problème là-dedans, c'est que quand c'est un gars qui ne comprend fuck all à la réunion, on lui fait savoir assez rapidement que ce soit par une remarque acerbe ou plus simplement un congédiement. Lorsque c'est une fille qui ne connait absolument rien de ce qui est discuté, les gens se ferment poliment la yeule et hochent de la tête comme si le point était pertinent.
Je n'ai pas calculé tout l'argent qui se perd sur des câlisses de niaiseries, mais quand t'as 20 consultants dans une pièce à 100$/hre qui attendent que l'ingénieuse avec un BAC en relations industrielles finisse d'expliquer à l'ingénieur en mécanique pourquoi son drain de plancher devrait être installer au plafond, tu te demandes jusqu'où on va aller dans l'égalité des sexes.
Un moment donné, on force trop.
Oui, ça détonne de votre politically correct, je sais. Y'a des filles qui sont plus compétentes que les gars, je sais. Au pro-rata, y'a des domaines qu'on engage des filles juste pour engager des filles. Je sais. Vous ne voulez pas l'entendre. Je sais.