Avec une espèce d'infantilisation:
https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2023-12-14/une-greve-revelatrice-de-la-precarite-financiere-des-femmes.phpImaginer une grève dans une usine principalement d'hommes, avec des gros salaires/fond de retraites comme des professeurs, après une semaine commençage d'histoire d'avoir faim ?
La propagande est rendu ridicule, c'est même contenu dans l'articule lui même:
et qu’on a la chance d’avoir une bonne « job steady » avec un régime de retraite en or, on ne s’imagine pas devoir demander un jour la charité pour manger… entre deux paies.Qui ici qui n'a jamais fait de prêt pour faire l'épicerie ? Que ce soit aux études, entre deux jobs quand on est jeune au lieu de commencer à sortir des REER ou son CELI (J'ai fait les 2, emprunter pendant les études et après la crise de 2008 quand après quelques mois de chômage, j'ai eu 2 apparts à payer en même temps avec un nouvel emploi dans une autre ville et un bon bout avant la première paye qui était mensuelle).
Ça ne m'aurait jamais passé par la tête de ne pas simplement emprunter et rembourser ensuite, comme presque 100% des Québécois ont fait à quelques occasions dans leur vie (si on ne compte pas le fait que c'est exactement ce que l'ont fait à chaque fois qu'on utilise notre carte de crédit à l'épicerie évidemment).
Ok pour des techniciens, secrétaires, des gens à temps, partiels, etc... présentement en grève, mais ne mettez pas des professeurs temps plein dans ce bateau.
C'est tu une campagne pour faire plier le syndicat pour qu'il arrête la grève ? C'es-tu une campagne pour l'opinion publique pour qu,on pousse le gouvernement à donner au syndicat un deal assez bon pour la grève arrête ? Ou 100% organique sans arrière-pensée, voila une façon de me faire un peu d'argent allons-sy, quand la presse me contacte, à pourquoi pas donner une entrevue.