On perd notre temps à niaiser au lieu de trouver le moyen de vivre éternellement
Tu ne vois pas assez loin tu es "petit bras".
Quel est la nature de l'humanité d'après toi ? Vers quoi courre-t-elle ?
Quel est son ADN ?
Chercher à comprendre son environnement ? Les sciences ? ça en fait partie mais je ne pense pas que ce soit son ADN.
Chercher à comprendre l'Homme ?
Vivre plus longtemps ? Faire disparaitre la souffrance et la faim ?
Je pense que c'est un peu tout ça à la fois, mais le fond, ce qui réunit toutes ces interrogations, ce vers quoi elle tend depuis la nuit des temps c'est de s'affranchir de sa condition animale, et ça passe effectivement par ce que tu nomes "trouver le moyen de vivre éternellement", mais pas seulement. ça a commencer par s'affranchir des saisons et de la faim en créant des habitats, des cultures et des élevages, s'affranchir des maladies avec la médecine, dompter et soumettre la nature à son bon vouloir (utilisation des chevaux, des animaux de trait etc...)
Au delà de savoir si tu te sens menacé pas la question d'une société non genrée ou pas, doit-on s'affranchir de notre condition animale jusqu'à ce point de "ne plus avoir de sexe" ? La question je me la pose et je t'invite à te la poser.
Est-ce qu'une humanité sans genre est une humanité plus épanouie ? Certains membres LGBT ne se gênent pas pour donner leur réponse personnelle pour certain(nes) la notion de genre est dépassée. Mais sont ils en avancent sur nous ou leur vision est-elle destinée à rester marginale ?
Est-ce qu'une humanité non genrée dans laquelle nous sommes in fine tous totalement ouvert aux relations sexuelles homo ou hétéro dans une totale ouverture d'esprit est une humanité plus heureuse et épanouie ?
Aujourd'hui certains et certaines d'entre nous le vivent ainsi. Peut être ils sont précurseurs de la société du futur ou alors le mode de vie "LGBT" restera toujours un mode de "pratique sexuelle marginal", je ne sais pas.
On ne peut que se réjouir du fait qu'ils vivent heureux et épanouis avec leur sexualité mais de là à accepter sans réflexion et dans la passivité lentement l'avènement d'une société non genrée, personnellement je n'y suis pas préparé.