No, You Stole The Election!
The history of a surprisingly common claim
https://www.reflector.show/p/no-you-stole-the-election-part-1-984https://www.reflector.show/p/no-you-stole-the-election-part-2-557https://www.reflector.show/p/no-you-stole-the-election-part-3-8ddPetit parcours de l'histoire américaine récente de 1960 à aujourd'hui, à propos des controverses de qui à gagner l'élection.
On commence pendant ce qui avait été longtemps la plus fameuse, la fortune Kennedy qui a fait gagner son fils, sonne surréalistes par moment à nos oreilles modernes.
De 1960 à 2004, une critique commune américaine était qu'il y avait beaucoup trop d'unité, pas assez de division et que le choix à la présidence était trop similaire dans des campagnes trop cordiales, plusieurs sur le forum seront assez vieux pour avoir entendu les derniers moments des expressions du style, change rien pour qui tu votes, bonnet blanc, blanc bonnet. Depuis 2004.. elles sont toutes là plus importantes de l'histoire.
Tout débat commençait avec: bon point et je suis bien d'accord avec 95% de ce que vous dites cher monsieur adversaire, mais moi je serais 10% plus prudent à propos de telle île dans le pacifique qui pourrait tomber... 10% vous dites, excellent plan, mais le nôtre de 15% serait un peu mieux.
Nixon a toujours été convaincu que les Kennedy et la machine démocrate avaient volé l'élection (le Texas et l'lllinois était particulièrement suspects) et la répéter souvent en privé, mais il ne l'a jamais dit au public et après seulement 3 jours a fait un discours comme quoi rien ne serait contesté et n'a pas participé aux procédures). Il n'aurait probablement pas pu devenir président plus tard s'il avait commencé à brasser les choses dans l'Amérique ultra-unis d'après-guerre (et pré Vietnam).
Al Gore v Bush à été le premier ou ça vraiment brassé et la bataille fait sur la place publique, la conspiration devient un peu la norme dans les médias, Bill Maher, Micheal Moore (We live in the time where we have fictitious election results that elects a fictitious President) dira-t-il aux oscars de 2003.
2004 Bush v Kerry devient bien pire (mon cerveau avait mélanger avec le tant 2000 et 2004 ensemble), les conspirationnistes ont un gros documentaire sur HBO, les machines auraient été hacké pour donner les votes à Bush.
Dans les 2 cas cependant les élites en public gardait les choses sous contrôle, Gore par exemple a fait un beau discours après que plusieurs démarches ai échoués qu'il admettait la défaite et souhaitait Bush bonne chance (c'était un peu de la bullshit, les avocats après les discours avaient encore remplis de la paperasse a la cours suprême pour renversé l'élection, mais c'était avant les médias-sociaux tu pouvais avoir un message et des actions différentes facilement), Kerry contrairement au Bernie Sanders, hillary Clinton et compagnie n'a pas tellement embarqué en public dans les conspirations.
2016 c'est là que tous brise parmis les élites des parties et leur commentaire publique, Hillary Clinton après le discours, ne va jamais admettre la défaite et toujours rementionné que l'élection a été voler, Kamala Harris et plusieurs le feront. Not my president, ça devient juste la norme de dire qu'il est illégitime.
2018, Stacey Abrams devient la première élue en plus de 100 ans à jamais accepter le résultat de l'élection, Clinton avait fait initialement un discours de défaite, c'est plus tard qu'elle a pousser les conspirations et le dénie des élections en public, Booker, Warren-Harris vont tous dénier le résultat de l'élection de manière très directe, dans les late night show, aux nouvelles, dans les discours, plus de taboo, après enquêtes et procès qui trouvent rien, jamais reculé sur la question.
Évidemment, tout le crescendo pour Trump-Biden 2020, ou Trump va repéter toute les raisons de sa défaite que Nixon+Gore+Kerry+Clinton+Abrams ensemble.
Très belle production, superbe utilisation d'archives et on sent au cours du temps que les élections deviennent de plus en plus sérieuse et contrôlée par les voteurs, une fortune Kennedy ne pourrait pas mettre son fils dans la maison blanche comme en 1960 de la même façon et pourtant de plus en plus controversé.