Booze & Glory – Raising the roof (Extrait de l’EP
Raising the roof, qui est sorti le
20 mai 2022) (Punk)
CoreLeoni – Sometimes (Extrait de l’album
III, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Vétéran incontournable de la scène européenne depuis trois décennies, Leo Leoni a toujours son étincelante Gibson, et elle fait dorénavant briller son nouveau groupe CoreLeoni depuis trois albums. Avec « III », les Suisses commencent à trouver leur véritable identité musicale, forgée dans un hard rock mélodique et relevé […]. Soudé, le quintet avance comme un seul homme sur des morceaux musclés, toujours très rock, ainsi que [sur] des ballades plus délicates […]. « III » est à la fois classique et très actuel. »)
Mike Stevens – Orange blossom special (Extrait de l’album
Breathe in the world, Breathe out music, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Du bluegrass à la musique ouest-africaine, du country au blues, des airs de violon aux paysages sonores expérimentaux, le résultat est une offre de 53 minutes dans laquelle [l'as de l'harmonica, Mike] Stevens, partage la vedette avec plusieurs invités notables […]. »)
Kenny Neal & Tito Jackson – Two timing (Extrait de l’album
Straight from the heart, qui est sorti le 20 mai 2022) (« « C'est le premier album que j'ai jamais enregistré sur mon territoire (Bâton-Rouge), et il vient vraiment du cœur », déclare Neal […]. « Tous les hommages du blues convergent ici, coulant dans une riche tradition. » S'il y a un concept directeur derrière les onze chansons de
Straight from the heart, c'est la mission de Neal de rembobiner les bobines de sa vie et de canaliser l'esprit de la musique qui crépitait du tourne-disque familial dans ses premières années […]. Vous entendrez tous les voyages de Neal dans
Straight from the heart, mais ce dernier album ramène tout à la maison. »)
Mavis Staples & Levon Helm – Farther along (Extrait de l’album
Carry me home, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Enregistré en direct au cours de l'été 2011,
Carry me home présente deux des voix les plus emblématiques du siècle dernier, qui s'unissent dans l'amour et la joie, retraçant leurs racines communes et célébrant le pouvoir durable de la foi et de la musique. Ni Staples ni Helm ne savaient qu'il s'agirait de leur dernier concert ensemble - l'album est l'un des derniers enregistrements de Helm avant sa mort - […]. Le résultat est un album qui est à la fois une capsule temporelle et un mémorial, un retour au bercail heureux et un adieu chaleureux, un concert unique dans une vie - et une amitié - préservés pour l’éternité. ») (Standards du blues, du folk, de la soul, etc.)
Sly Johnson – What’s going on (Extrait de l’album
55.4, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Le chanteur, beatboxer, auteur-compositeur et producteur français Sly Johnson dévoile
55.4, son quatrième album studio très attendu […]. Originaire de Paris, Sylvère Johnson […] est une force majeure de la scène hip-hop, soul et jazz française, à la fois en tant qu'artiste solo et membre du supergroupe Saïan Supa Crew pendant plus d'une décennie […]. Écrit et enregistré lors des premiers verrouillages Covid entre mars et mai 2020, le quatrième album de Sly Johnson mêle soul et hip-hop, jumelant des arrangements vocaux rappelant Prince et D'angelo, avec des rythmes amples, souples et des accords jazzy […]. Pourquoi
55.4 ? « Il a fallu 55 jours de création pour faire les chansons de ce 4ème album solo », raconte Sly. »)
Loud – Aucune promesse /
Rien de moins /
Peinture à l’huile (Extraits de l’album
Aucune promesse, qui est sorti le 20 mai 2022) (Rap)
Craig Finn – Messing with the settings (Extrait de l’album
A legacy of rentals, qui est sorti le 20 mai 2022) («
A legacy of rentals a été en grande partie écrit en 2020, à l'ombre de la pandémie et du meurtre de George Floyd survenu dans ma ville natale de Minneapolis […]. Ces chansons traitent beaucoup de mémoire : comment nous nous souvenons des personnes qui sont parties, des lieux qui ont changé, des événements majeurs qui font partie de notre passé. Il s'agit de la façon dont les souvenirs deviennent les histoires que nous racontons aux autres et à nous-mêmes. Il s'agit de la distorsion qui se produit dans nos propres histoires lorsqu'elles sont étirées par le temps et la distance. Il s'agit de trouver de la joie dans le banal et de s'engager dans l'espoir dans notre quotidien. » « Musicalement, il explore vraiment la frontière entre parler et chanter. » « Combinant des influences littéraires comme Jack Kerouac et John Berryman avec les influences musicales de Bruce Springsteen et de son compatriote du Minnesota Paul Westerberg, le style lyrique hautement descriptif de Finn met fortement l'accent sur la narration, créant des mondes entiers pour que les gens de ses chansons puissent exister à l'intérieur. »)
Matt Koziol – Work all day (Stripped) /
Slow burn (Stripped) (Extraits de l’album
Wildhorse, qui est sorti le 20 mai 2022) (Le talent de Matt Koziol « pour la narration et son mélange saillant de rock sudiste, de country et d'americana ont rapidement attiré l'attention d'artistes comme John Paul White, Joy Oladokun, Jimmie Allen, Charlie Worsham et bien d'autres, avec qui il est venu collaborer. Maintenant, Koziol sort de la chambre de l'écrivain et monte sur la scène principale avec son premier album "Wildhorse" […]. Écrit et co-écrit entièrement par Koziol, c'est une collection de dix chansons qui raconte un voyage d'une décennie à travers le chagrin, la poursuite des rêves et la découverte de soi. » « Koziol [...] delivers music inspired by influences like The Rolling Stones, Chris Stapleton, John Mayer, Jason Isbell, Tom Petty and others. Previously released songs offer a taste of the sonic diversity Koziol showcases on the album - “Work all day'' is a rugged blue-collar anthem -, while the angsty “Slow burn” sounds like a countrified Bob Dylan. The album’s “Loving you loving me” is a Tina Turner-meets-Keith Richards southern rock tune that also tips its hat to ‘Dirty dancing’ with its guitar solo, while the gentle “Hired gun” channels James Taylor-inspired acoustic guitar work. »)
Gavin DeGraw – Destiny /
Lighthouse /
Hero in our house (Extraits de l’album
Face the river, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Le grand art naît trop souvent de la souffrance et de la tragédie. L'amour perdu, la guerre, le désespoir sont des inspirations et des motivations pour les artistes qui ont besoin de surmonter leur douleur […]. » « Le nouvel album de Gavin DeGraw […] rend hommage à sa maman, Lynne, et à son papa, John Wayne. » « Ce disque a été écrit dans une optique très thérapeutique. Il a été assemblé d'un point de vue très thérapeutique. » « There's so much material. Well, firstly, of course, there's gonna be a great song like "The river", like [Bruce] Springsteen. This blue-collar poetry that is representing these lifestyles that aren't treated like the great folk art that they are. They need to be celebrated with this great folk art. One of my favorite songs ever is Sam Cooke, "A change is gonna come". And since the first time I heard it, I heard how broken he felt. When I wrote "Face the river", I wanted to write my own version of "A change is gonna come". I wanted to write my own version of Jimmy Cliff, "Many rivers to cross". With Sam Cooke, I feel like he's such a great american artist the way I feel that Billy Joel is a great american artist […]. I don't fit within the parameters necessarily of any of the classic categories just because I love music, not a category of music. And so I wanted to write music that was a reflection of my passions of music, which are vast. »)
Jess Jocoy – Two shoulders (Extrait de l’album
Let there be no despair, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Native des abords de Seattle, Jess Jocoy s’est rapidement distinguée du peloton des aspirants à la nouvelle scène americana de Nashville. Bien que persistant à colporter un spleen de circonstance, cette nouvelle livraison prétend - comme l’indique son titre - discerner une lueur d’espérance parmi les tourments que traverse de nos jours l’humanité. S’accompagnant elle-même au banjo et à la guitare acoustique, elle bénéficie des arrangements boisés que lui prodiguent les cordes d’Ethan Ballinger - guitare électrique et acoustique, mandoline, banjo -, Lydia Luce - viole, violon -, Brian Allen - basse électrique et acoustique, violoncelle -, à l’instar du drumming subtil et léger de Matt Alger. Parmi les poignants “Living in a dying town” - dans la veine d’une Tracy Chapman -, “Two shoulders” et “Waiting to exhale” émergent ainsi ces “I will be glad”, “The one I’m living for” et “The gardener” de résilience, de même que l’élégiaque plage titulaire. D’un timbre puissant et magistralement modulé, Jess Jocoy rappelle ici les Dolly Parton, Emmylou Harris et Alison Krauss de naguère et d’antan, en s’inscrivant dans la même veine, entre folk, bluegrass et country - “Jericho walls”, “Always”, “Common kindness” -. S’employant à traquer la moindre étincelle jusqu’au tréfonds des ténèbres les plus abyssales, cet album s’immisce avec acuité dans notre actualité, sans jamais pourtant en évoquer directement les turbulences. De l’intime à l’universel, Jess Jocoy entre ici en résonance avec les épreuves que traversent en tout temps chacune et chacun. »)
Avi Kaplan – I'm only getting started /
He don’t love you right (Extraits de l’album
Floating on a dream, qui est sorti le 20 mai 2022) (« With country, blues, soul, tribal drums, and a touch of gospel underpinning his elemental acoustic driven rock, [Avi Kaplan] explores matters of the heart, truth, morality, and the search for relevance across the album’s 11 original tracks. At the core though there is that voice. From a haunting falsetto to its deepest bass tones, Kaplan’s instrument is unlike anything else in modern music […].
Floating on a dream explores Kaplan’s wide sonic palette and rootsy influences. Throughout the LP’s soaring choruses and deep valley passages, Jennings’ steadfast musical foundation helps keep Kaplan’s amazing voice, which has drawn comparisons from classic country crooner Lee Hazelwood to folk legend Richie Havens, firmly in place. Jennings’ influence can be heard in
Floating on a dream’s cinematic production using piano, pedal steel, varied guitars, and layered harmonies, contributing to the album’s spacious western scope. »)
Hardkandy feat. Andy Platts – Stronger stuff (Extrait de l’album
Pure fantasy, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Crafted over two years, the album has been something of a labour of love for the main writer and producer, Tim Bidwell, based on the underlying concept: what would I have done back then, if I’d known what I know now? With influences ranging from the classic sounds of Marvin Gaye to the down-tempo carboot soul of Nightmares on Wax, Hardkandy’s new material takes the listener on a seductive and sonorous journey where harmonious melodies meet hypnotic rhythms. Fans will still recognise the signature cut and paste Hardkandy sound, just reimagined for 2022 with real musicians playing real instruments. »)
Abunai – Sixteen hours (Extrait de l’album
Chrysalis, qui est sorti le 20 mai 2022) (Un son soul psychédélique-électronique. « À travers 11 chansons, le multi-instrumentiste basé à Oakland, en Californie, établit un style onirique qui devrait résonner avec les fans de Tame Impala, Khruangbin et James Blake […]. « Il y a beaucoup d'héritage musical ici, y compris les mouvements psychédéliques et de contre-culture des années 60, la scène rave des années 90 et le mouvement hyphy. J'essaie toujours de relier les points et de mélanger toutes mes influences », déclare Abunai. « C'est une musique de guérison », explique Abunai, « pour que l'auditeur puisse se laisser mariner dans les tempos lents, les textures rêveuses, les voix tourbillonnantes et les synthétiseurs luxuriants. Il s'agit beaucoup de croissance, de réémergence et de rêver d'un avenir meilleur. » En plus de traiter des mélodies pop accrocheuses et des voix douces, il y a un thème sous-jacent de l'océan, qui découle de son environnement côtier et de ses racines familiales dans le Pacifique. « Je pense que l'album est aquatique », se dit-il […]. Avec des tons nostalgiques, doux et apaisants pour l'âme,
Chrysalis est [un] disque […] pour les moments tendres, les jours brumeux et les rêveries étoilées. »)
Lissom – Big sleep (Extrait de l’album
Éclipses, qui est sorti le 20 mai 2022) (« « Lissom » est une collaboration entre le pianiste, compositeur et producteur français Julien Marchal, et l’auteur, compositeur, producteur et chanteur anglais Ed Tullett, aka Lowswimmer (également chanteur et co-compositeur du groupe Novo Amor) ; l’alliance entre un piano feutré et une voix falsetto, dans des arrangements de cordes tout aussi organiques, emprunts de légèreté et de souplesse. » « Renouer avec la vie après avoir tout vu et tout vécu. Ouvrir de nouveau les yeux suite à un traumatisme, la perte ou un amour égaré. Pour ce deuxième album […], le duo […] revient avec ces
Éclipses qui agissent comme un jeu de lumières musical et poétique, raffiné et organique, en douze stations […]. Le disque est imprégné de cette inquiétude d’être séparés, de la solitude qui en découle, mais aussi de la foi lumineuse de pouvoir renaître et reprendre la vie d’avant. Le souvenir de l’autre est ici souvent douloureux mais aussi source de réconfort. L’amour trahit, blesse, mais constitue, par la trace qu’il laisse et la promesse qu’il porte au loin, le point d’ancrage qui autorise la voix à s’élever dans les aigus et à s’enthousiasmer […]. Le spleen, toujours présent, dévoile une sérénité désolée mais pure comme le verre qui baigne l’ensemble des morceaux, à l’image de la détresse parcimonieuse de
Lowry. Le piano de Julien Marchal ouvre, le plus souvent, un chemin dégagé et ample que la voix vient caresser d’émotion et de mélancolie, avant de gagner les cimes. Le falsetto d’Ed Tullett continue de constituer la principale attraction d’une musique qui évoque la générosité d’un Bon Iver ou la religiosité appliquée d’un Sufjan Stevens. L’artiste n’abuse jamais de son super-pouvoir. La voix vient souffler le chaud et le froid avec justesse, et un contrôle de tous les instants selon les indications que Marchal a déposées pour lui […]. La production confère à l’ensemble une sensibilité pop qui éloigne le disque du territoire classique et sacré pour gagner celui de la chanson et de la tendresse soul. Par-delà la sophistication attachée aux instruments et le caractère exceptionnel de la voix de Tullett,
Éclipses est un disque qui fuit l’abstraction et agit à même le cœur. Il provoque de la complicité et un réel sentiment de proximité renforcé par des textes sensibles et à hauteur d’homme […]. »)
Flõstate – Dream dance /
So it goes (Extraits de l’album
Moments of Feeling, qui est sorti le 19 mai 2022) (« Flõstate is a fantasy R&B duo from space. »)
Léa Sen – Much to lose (Extrait de l’EP
You of now, Pt. 1, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Open-eared and open-hearted : these are the watchwords of Léa Sen’s music. At just 22 years old, the London-based singer, songwriter and producer has established herself as one of the capital’s most in-demand talents, meandering between gossamer vocal features for Joy Orbison to solo work that references everything from Bon Iver’s electronic timbre and folk guitars to Sampha’s impressionistic lyricism. Now, Sen arrives with her most comprehensive statement to date – her debut EP,
You of Now Pt. 1. The five-track collection presents the self-assured maturity of an artist twice her age, with all tracks written, produced and mixed by Sen […]. »)
Melody Gardot & Philippe Powell – Plus fort que nous (Extrait de l’album
Entre eux deux, qui est sorti le 20 mai 2022) (« Premier album en duo, avec le pianiste franco-brésilien Philippe Powell. Un album intimiste, profond et sensible. [Melody Gardot] dédie ses chansons à sa ville d'adoption, Paris, à la culture française et au jazz. » « Si je devais résumer le disque en quelques mots, je dirais que ce disque est une danse entre deux personnes qui aiment et apprécient les mêmes choses : une poésie profonde et des mélodies solides », explique [Melody] Gardot. ») (Jazz ; piano-voix)