La vérité, c'est que Pontiak est un individu brillant, mais c'est aussi un être complexé, immature et -- ça m'arrache le cœur de le dire -- foncièrement malhonnête.
Ce n'est pas un bel "enfant prodigue", mais un sale "enfant roi". Vexé, il quitte en sauvage. Puis là, en exploitant cette bonté innée qui est nôtre, par chantage, il programme un retour qui lui permettrait de sauver la face.
Pour papa, c'est son "p'tit préféré" à qui ont pardonnera tout. Pour d'autres, c'est le délinquant qui fascine -- un peu comme Trump -- qui ose ce qu'on n'oserait pas soi-même. Enfin, il y a ceux qui veulent faire montre à son endroit d'espérance et de charité.
Voilà et en toute connaissance de cause,
Bienvenue Pontiak!