sciences humaines, où l'on peut dire à peu près n'importe quoi sans rien avoir à prouver.
Prenons une liste de science dites humaines:
La Sociologie, l'économie, l'ethnologie, l'anthropologie, la psychologie, l'histoire, la géographie, la démographie, les sciences politiques, l'archéologie, la linguistique, la communication.
Certaine seront très dure (géographie, archéologie), certaine plus molle (économie, sociologie), mais très peu de science sont dure a 100% d'ou l'existence des théories et très peu de science sont molle a 100% (rien besoin de démontrer/prouver) car elle ne sont pas des sciences dans ces cas-la.
Il faut bien comprendre que la science n'a pas pour but et encore moins comme prétention d'expliquer ou de réellement comprendre la vérité, mais plutot de créer un modèle assez précis (dans un domaine d'application fort précis) pour prédire le résultat d'une expérience/situation.
Par exemple, la physique Newtionnienne est fausse mais assez vrai dans son domaine d'application (object et vitesse a l'échelle de l'humain) pour être utilisé a tous les jours par bien des gens.
Que la théorie de la relativité d'Einstein soit vrai ou fausse, cela importe peut la compagnie qui fait un GPS et qui l'utilise, pourvu qu'elle soit assez précise dans le domaine d'application pour mettre la bonne formule/constante dans ton programme.
Une théorie en science devient simplement toujours de plus en plus forte et accepté a force que les résultats observé sont en accord avec celle-ci (et inversement), elle ne devient pas une vérité parce que prouvé par quelqu'un un jour.
Une science sera plus dure si on peut facilement élaboré des expériences ou observé dans la nature des évènment reproductible qui donne des résultats attendu par les théories émit dans cette science. Tous ce qui englobe des humains vivant sera évidemment plus moux, parce que les facteurs sont souvent plus difficilement isolable et que y'a une foule de chose qu'on ne peut pas prendre 1000 humain au hasard et leur faire faire, mais on peut pas dire n'importe quoi pour autant.
Un bon exemple est les théories sur le language de Chomsky justement :
Chomsky a postulé l'existence d'une « grammaire universelle » inscrite dans les tissus cérébraux. En 2003, des chercheurs italiens et allemands font état, dans Nature Neuroscience, de leur identification d'une subdivision de l'aire de Broca spécialisée dans le traitement de la grammaire53.
Niels Kaj Jerne, lauréat du prix Nobel de médecine en 1984, a utilisé le modèle génératif de Chomsky pour expliquer le système immunitaire humain, faisant le lien entre structures grammaticales et protéiques. Le discours de Jerne à la remise du Nobel s’est intitulé « la grammaire générative du système immunitaire »
qui se renforce quand des découvertes vont dans le sens de celle-ci.