Donc oui ça arrive, mais c'est quand même plate que ça arrive au XXIe siècle, par la faute de politiciens un peu trop rigides sur leurs principes.
Correction : A 10% par la faute d'un politicien zélé et à 90% par la faute d'un ou plusieurs pays "shit hole" comme le Mexique gangréné par les cartels de la drogue et la corruption, incapable de protéger ses citoyens, de leur trouver un boulot et de leur assurer un système de santé de qualité les obligeant à fuir leur pays pour ce qui est fantasmé comme un Eldorado de liberté, de possibilités économiques et de sécurité (les USA).
Donc le problème et ses conséquences est à 90% dans les pays "shit hole", tellement "shit hole" que tout le monde les fuit pour partir chez les horribles nazi où ont les sépare de leurs enfants les nourris, les habille et les loge.
Et qu'on aille pas me dire que l'immigration Hispanophone n'est pas un problème dans les états du Sud à coup de statistiques, je reviens de Floride où la population d'origine Cubaine pose de vrais soucis d'intégration car ils vivent à la Cubaine. Si ça peut avoir un côté agréable culturellement pour le touriste que je suis qui y trouve un folklore cubain qui vient colorer la médiocre culture culinaire américaine, les Hispanophones ne font aucun effort pour s'intégrer culturellement au pays d'acceuil. Pas parce qu'ils sont méchants ou par "nature mauvaise" comme le présente le gros populiste de Trump, mais parce que la population américaine elle même qui prone le "multiculturalisme" à la mode tant vanté par Justin Trudeau qui trouve que c'est très mal de forcer les immigrés à faire des efforts pour parler la langue locale, que c'est cruel de changer de culture et de s'adapter vivent entre eux parlent entre eux et n'apprennent pas l'Anglais. Et vous aurez beau me dire (ce qui est vrai) que la langue Anglaise n'est pas officielle aux USA, c'est la langue implicitement utilisée par la population et historiquement légitime culturellement et présente dans les textes législatifs.
Anecdote personnelle : Je vais chez Alamo pour louer une voiture, la personne à l'acceuil me parle en Espagnol. Genre, elle voit bien que je suis touriste, à ma gueule de de cachet d'aspirine mon accent de merde et ma casquette de touriste, mais elle y va de son "buenos dias", je continue en Anglais, mais non elle insiste en Espagnol genre c'est à moi de m'adapater, pas un cochon d'employer de chez Alamo n'était foutu de m'adresser un mot d'Anglais(à l'acceuil, d'une société qui bosse à 90% avec des touristes), jusqu'au dernier type qui m'a tendu les clés de la voiture qui lui à daigné m'adresser deux mots en Anglais.
Et l'anecdote on peut la décliner dans les restaurants, les bus et les taxis.