Un truc qui étonne mes proches : le matin, je mange comme un repas (surtout flocons d'avoine dans du lait, et fruits). Je n'ai ainsi guère besoin de manger entre le déjeuner et la pause journalière. Mais en fin de semaine, il m'arrive de manger des pâtes le matin (avec sauce aux tomates coeur de boeuf).
Puis un bon morceau de fromage... et le tout toujours avec l'eau du robinet comme seule boisson. Mais je m'arrange pour ne pas manger "entre les repas", juste boire de l'eau.
Par contre, le soir, tu abuses facilement quand tu travailles dans un restaurant, non seulement en quantité (durant la pause de midi déjà mais aussi le soir, notamment, mangeant avec les collègues), mais le verre de rouge s'invite lui aussi. Heureusement que je ne travaille pas tous les soirs au restaurant.
En tout cas, ce qui
m'a le plus aidé :
1. c'est le fait de trouver d'autres critères que "ma santé" (ou mon apparence). Quand on fait le tri selon d'autres critères qui nous parlent (écologie, commerce équitable, etc.), ça élimine déjà pas mal de produits, et cela sans que l'on se sente coupable ou frustré. La diversité des critères aide à ne pas focaliser sur un seul de ceux-ci. Par contre, le risque est que ceux-ci deviennent de nombreuses sources de culpabilité. [Je me souviens du temps où je culpabilisais pour avoir acheté des fins du monde québécoises.]
2. Ne pas acheter ce qui ne fait qu'une minute dans l'armoire. [Un temps, c'était les paquets de chips... Une autre époque, c'était les plaques de chocolat...]
Shokin