Je ne parle pas de Montréal ou de l'Outaouais, où l'anglais est déjà dominant.
Je parle du reste du Québec: de la belle ville de Québec et des régions du Québec qui tiennent encore, courageusement mais vainement, le fort et la lutte de la survie du français.
Mais le temps est probablement venu de capituler pour le bien de la prochaine génération, handicapée et pénalisée par sa mauvaise maîtrise de l'anglais. Quant au "bilinguisme", il jouera toujours en notre défaveur et ce serait s'emmerder et remettre inutilement à plus tard l'inéluctable.
L'exemple qui me vient en tête est le Rwanda, qui est en train de passer du français à l'anglais.
La démographie locale et régionale, la technologie, les connaissances, le savoir, le commerce, c'est en anglais que cela se passe de plus en plus et de plus en plus massivement et rapidement.
"Notre français" n'est même pas perçu comme du "vrai français". Plus rien à attendre de la France, elle même esquichée par l'anglais.
Les faits sont là! La raison nous dicte maintenant la voie à suivre,,,