Si tu vois chez les immigrants une menace pour l'identité Québécoise tu es xénophobe.
Je pense que c'est vrai et pourtant je pense que la question est légitime est la xénophobie bien argumenté valable.
D'ailleurs ta réponse est révélatrice.
Tu ne dis pas "la peur de la menace de l'identité Québécoise par les immigrants est injustifiée/absurde/dangereuse/fausse parce que bla bla bla bla..." mais ton raisonnement est c'est de la xénophobie c'est à dire que tu réduis celui qui aurait ne peur de l'immigrant (justifiée ou non) non pas par un argument construit mais par le biais d'une accusation effrayante celle de la xénophobie, c'est assez amusant et révélateur de voir comment tu agites le spéctre du racisme pour éluder le débat. Je trouve la méthode profondément malhonnête.
Alors revenons au débat en quoi la xénophobie est-elle fausse, injustifiée, dangereuse etc...
Moi mon point est simplicime et se résume en une phrase :
"l'étranger n'est en rien un danger tant qu'il reste minoritaire et discret"
C'est vrai dans tous les contextes, toutes les temporalités et toutes les société. L'histoire de l'humanité nous montre qu'à chaque fois que l'immigrant a atteint un nombre ou des revendications importantes cela a engendé pour l'autochtone une modificatiin plus ou moins importante de sa vie, de son mode de vie, de sa culture. Et si cette modification arrive, elle peut être bénéfique ou non.
Un bouleversement culturel peut être veccu de façon différente par la société et pour les uns comme positifs comme négatifs pour les autre.
La question suivante est donc "Est-ce que le nombre d'immigrant chez vous (ou chez moi) et leurs discrétion (comprendre revendications) est en mesure de modifier profondément la société de façon négative ou positive ?
C'est ça mon cher Dogma une analyse honnête de la question posée pas, pas la lâche réponse "avoir peur c'et être xénphobe", si tu accuses l'autre de peur injustifiée de l'étranger toi tu agites tout autant la peur d'accuser l'autre de discrédit par la menace de l'accusation de xénophobie.