Sauf que tu n'as cité qu'une partie de mon poste Tam, je ne me contentais pas de dire que la vie est injuste comme un constat passif, la police, des parents normaux proposes à leur fille, leur femme de se protéger, toi tu préfères les condamner sur l'autel de tes convictions égalitaire pour prouver comme si cela était nécessaire que l'injustice du viol s'attaque aux femmes.
Je trouve que l'attitude des gens comme moi ou de la police est un peu plus responsable et lutte d'avantage contre le viol qu'une culture du viol qui voudrait... Qui voudrait on ne sait toujours pas trop ce qu'elle veut, elle veut changer les comportement en passant par un changement de langage, c'est toujours cette même stratégie de prendre le sujet par le bout le plus insidieux selon moi. Changer les choses pas par le mode de la réflexion, de la justice, de l'information mais par un blocage de l'expression, on va interdire certaines forme d'art, d'humour, de langage, certains comportement parce qu'ils peuvent induire un autre comportement à risque.
Je suis contre, je tiens trop à ma liberté d'expression et à celle des autres pour qu'on rende tabou, qu'on criminalise certains propos pour faire passer ses idées.
J'ai parfois l'impression d'être dans le film Brazil ou 1984 où l'on observe les gens en permanence, où l'on réécrit l'histoire, modifie ou invente de nouveaux mots pour orienter la pensée rendre impossible certaines idées faute de mots, faute de moyens d'y parvenir, criminalisé les fantasmes ou les pensées, c'est ça qui me gêne dans ce courant féministe. La culture du viol avant d'être un concept c'est une façon d'induire un comportement, Simone l'a dit, s'opposer à la culture du viol c'est faire partie du problème, de même que critiquer le zinisme c'est être antisemite, avoir une position mitigée sur les problèmes d'immigration c'est être raciste, se poser des questions sur la légitimité des carrés rouges c'est être contre les étudiants, anti-jeune, capitaliste.
Tout ça n'est qu'une construction qui à pour but de gommer les subtilités et créer deux camps, les pour et le contre.