Rassure toi, sa tete etait jolie aussi.
Faudrait quand même expliquer pourquoi t'as "flashé" plus sur son cul que sur sa gueule,,,
Attend, je te le fais dans le genre "introduction de roman Harlequin"
J'avais 18 ans cet été-la, et j'etais encore assez innocente et timide. Petite Francaise envoyée par ses parents parfaire son anglais a Malte, je logeais dans une résidence étudiante ou regnait une tres joyeuse ambiance.
Je n'ai pas mis longtemps a me sentir a l'aise et profitant de l'anonymat des vacances en territoire inconnu, je me sentais prete a toutes les experiences.
Pensez donc! Toute une bande de jeunes, beaux - on est tous beaux quand on est heureux- et totalement libres en dehors des quelques heures de cours. On avait tous un peu de mal a communiquer, mais cela rendait les discussions encore plus amusantes.
A. n’était pas étudiant a proprement parler, mais il faisait partie de notre joyeuse troupe car il vivait dans la vieille maison en face de la notre et il était de toutes les fêtes sur la plage. Un peu plus âgé que nous, tres grand, les yeux bleu acier, il était banquier, et il m'impressionnait un peu avec ses chemises blanches bien coupées et son air assuré (et son anglais parfait).
Des les premiers regards, il a été évident - pour nous deux comme pour tous les autres - que nous nous plaisions, et que le moment du rapprochement arriverait tôt ou tard. Nous savions que notre temps était compté mais nous faisions quand même durer le plaisir. Il me narguait en faisant mine de s’intéresser a une autre, et je faisais de même. Nos yeux se croisaient, nos mains se frôlaient, la tension montait sous les chaudes nuits maltaises... Et surtout, nos compagnons, amusés par la romance en train de se nouer, semblaient créer toutes les occasions possibles pour nous rapprocher, trouvant sans doute très divertissant de me voir devenir rouge comme une pivoine en sa présence.
Ce soir-la, a l'heure ou la chaleur retombe un peu mais qu'il fait encore jour, il me savait chez moi en train de me préparer, car nous nous devions nous retrouver dans un des nos bars habituels un peu plus tard.
Sa chambre se trouvait sous ma fenêtre et il guettait mon rideau du coin de l’œil. Quand il a été sur de ma présence derrière l’étoffe légère, il a entrepris de se préparer également, prenant tout son temps au sortir de la douche pour choisir ce qu'il allait porter.
Ses fesses parfaites ...kgiqbxutrqr qxur biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiippppppppp