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 L'Encyclopédie du Peuple

Auteur Sujet: Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries  (Lu 96634 fois)

currius

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #100 le: août 10, 2011, 07:27:39 pm »
0
Je relève l'attitude mon snook, l'attitude... Le sujet, je m'en branle comme de mes premières culottes. Ce pourrait être la plomberie ou la paléo.

En effet, je ne prétendrai pas connaître ces auteurs, mais une petite recherche et je pourrais t'écrire un petit topo en 10 minutes et tu croirais que je vais prendre une petite bière avec eux à la taverne du coin toutes les jeudis soirs.

Quant à tes petits commentaires sur mes échappées, j'ai juste l'impression que tu n'as jamais été confrontés au fait que quelqu'un puisse trouver ton intelligence tout juste un peu supérieure à la moyenne et tes valeurs typiques de la petite-bourgeoisie de province se résume aisément à "I'm in it for the money", ce qui à mes yeux ne m'inspire aucun respect pour ta personne et je ne m'en attend à aucune de ta part.
Si tu veux m'injurier, je te suggère de dépasser le niveau d'ever et de recourir à des arguments comme maladie, pauvreté, l'homosexualité d'une personne et autres arguments cheaps typiques de gens qui manquent d'esprit et de finesse. Il est vrai que cela s'apprend et il y a suffisamment de vieux taboires avec un esprit vif sur ce forum pour que tu te taises plus et prennes des notes...
?

Snookey

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #101 le: août 10, 2011, 09:27:57 pm »
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Ah d'accord, fait aux autres ce que tu ne veux pas te faire faire. Belle mentalitée de retardé ça mon currius.

Toi tu te gène pas pour m'attaquer sur ma future carrière en ne sachant de moi que ce que tu lis sur un forum internet et moi je ne peux pas t'attaquer sur autre chose en retour ?

Un vieux boomer prétentieux, c'est ça que tu réflète avec ton attitude.

Evergreen Terra

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #102 le: août 10, 2011, 10:57:51 pm »
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Oui mais snookey, currius est un anti-conformiste auto-proclamé. C'est pas n'importe qui. Avec ces hauts faits d'armes et son horaire chargé, il impose le respect. 

sharl

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #103 le: août 11, 2011, 09:01:40 am »
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Je vois que currius est rendu sur votre dos.

Pas grand chose à retenir du gars; une banane sur un régime de bananes à cet horizon limité.

J'ai aussi noté qu'il adore lécher le cul ce Canta et ses hémorroïdes bourgeonnantes...

C'est à peu près ça,,,   

currius

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #104 le: août 11, 2011, 09:23:17 am »
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Vous pratiquez le petit train grec, les mecs?
?

cantabile

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #105 le: août 11, 2011, 09:28:41 am »
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et note aux utilisateur de ce forum: je n'ai pas d'hémorroïdes pas plus que j'apprécie de me faire licher l'anus.
Les gens....

Le Jam

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #106 le: août 11, 2011, 09:28:46 am »
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Tout ça est absolument fascinant.

"Va te coucher t'es saoul"

Tam

currius

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #107 le: août 11, 2011, 09:33:03 am »
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et note aux utilisateur de ce forum: je n'ai pas d'hémorroïdes pas plus que j'apprécie de me faire licher l'anus.

Ah?!?

Moi qui...
?

Hawaiienne54

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #108 le: août 11, 2011, 11:37:53 am »
0
comment un topic sur l'économie vire en hémorroides, l'art de dévier :smiley36:
*

Le Jam

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #109 le: août 12, 2011, 03:55:44 am »
0
La situation économique de l'Aurope et de la France et même du monde est absolument dramatique. Si la France se relève de tout ça, ce sera au prix de mesure drastiques très sévères et je crain que la population ne soit pas prète à l'accépté ce qui risquera une fois de plus de nous enfoncer dans la merde voir l'éclatement de l'Europe (ce qui est loin d'être une éventualité absurde aujourd'hui) et à partir de là... On peut tout mais alors tout imaginé. Imaginé des pays anciennement riches rendus pauvres avec des porte avions et des bombes nucléaires dans les poches...
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Tam

Wotan

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #110 le: novembre 29, 2011, 03:34:42 pm »
0
J'adore quand l'actualité nous offre des pépites d'humour dignes des fictions les plus absurdes !

Un fonctionnaire grec trop honnête risque la prison à vie

Andréas Giorgiou, éminent statisticien, est accusé de «ne pas avoir trafiqué les comptes du pays».

Le chef d'accusation peut paraître ubuesque, il est pourtant réel. Andréas Giorgiou, le ­directeur de l'Institut national de statistiques grec, risque la prison à vie pour «ne pas avoir trafiqué les comptes du pays». Accusé par trois membres de son conseil d'administration, cet éminent statisticien doit comparaître, le 12 décembre, devant le procureur des crimes économiques et justifier de la réévaluation du déficit de 2009 à 15,8 % du PIB, au lieu de 13,4 % annoncés par le gouvernement ­Papandréou.

Qualifiée de «tragicomique» par les experts, cette situation dérange l'in­tégralité de la classe politique car la rééva­luation du déficit de 2009 a joué un rôle déterminant dans la mise sous tutelle du pays par la troïka. Pour Loannis Stournaras du think-tank Iobe, la justice est trop procédurière dans le pays : «Ici, à chaque dénonciation ou petite accusation, une procédure est engagée par le procureur. Dans le cas de Giorgiou, cela n'aboutira bien évidemment pas à une peine.»

«Impossible d'avoir les vrais chiffres»
Pour rendre son verdict, la justice doit se plonger dans les méandres des statistiques grecques. «Il lui sera impossible d'avoir les vrais chiffres parce que tout le monde les modifie», explique Giorgos Kirtsos, analyste politique. «Même cette année, on a du mal à savoir si le déficit grec sera de 7,5, de 9 ou de 10 % du PIB, comment voulez-vous savoir pour 2009 ?» ­ironise-t-il.


http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/11/28/04016-20111128ARTFIG00756-un-fonctionnaire-grec-trop-honnete-risque-la-prison-a-vie.php

sharl

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« Réponse #111 le: novembre 29, 2011, 07:31:39 pm »
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Mon brave Wotan, sache qu'il y a trois sortes de mensonges: les gros, les petits et les statistiques,,,

 :smiley14:

Le Jam

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« Réponse #112 le: novembre 30, 2011, 06:33:15 am »
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Le seul type intelligent du pays est sur le point de passer devant le juge. La Grèce c'est un pays de clowns à tous les niveaux.
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Tam

Evergreen Terra

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« Réponse #113 le: novembre 30, 2011, 08:29:43 am »
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L'Europe n'aurait jamais du intégrer ce pays pourri et ne devrait plus lui envoyer un centime.

Wotan

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« Réponse #114 le: novembre 30, 2011, 09:01:17 am »
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L'Europe aurait du les foutre dehors le jour où l'on a découvert qu'ils avaient trafiqué leurs comptes pour rejoindre la zone Euro !

Evergreen Terra

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« Réponse #115 le: novembre 30, 2011, 09:27:47 am »
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La Grèce aurait été larguée depuis longtemps si ce n'était des banques européennes et principalement françaises qui détiennent une grosse part de la dette grecque.

Titoine19

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« Réponse #116 le: décembre 19, 2011, 10:30:16 pm »
0
On doit se remettre à jour ...

Peut-on vraiment parler d'économie et non de conflit géo-politique.

Alors ? Est-ce qu'on est toujours dans le trou ?

Est-ce qu'un pays a déjà remboursé sa dette ?
A

MadChuck

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« Réponse #117 le: décembre 19, 2011, 10:36:37 pm »
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Titoine tous les pays rembourse leur dette habituellement, si tu as pris des obligations d'épargnes (bon disons mis a part l'argentine, grèce, espagne, italie) tu devrais ravoir ton argent a ton terme pas mal sur a 100% ou si tu es fonctionnaire ton chèque devrait passer.

C'Est arrivé dans l'histoire qu'un pays ne paye pas ça dette, ou qui imprime simplement beaucoup d'argent pour la payer, mais tu détruis la confiance des investisseurs et ça devient très dure de te financer par la suite, aussi tu appauvris tous le monde qui avait de l'argent dans ta devise (donc la plupart de ton peuple).

Certain pays sont en surplus, Norvège, Chine, Russie, Taiwan, mais c'est plutôt rare ces temps-si.

Certain pays sont un peu ou beaucoup plus dans le trou que nous, japon, grèce, irlande, espagne, italie, mais on est pas mal dans le top.

Un gros problème ça été de penser que c'était pas grève de toujours s'endetter tant qu'il y avait croissance.

sharl

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« Réponse #118 le: décembre 20, 2011, 08:35:07 am »
0
Une "dette" n'est plus une "dette" lorsqu'elle se transforme en investissement sécuritaire et productif.

Autrement, elle devient une "perte nette".

C'est ainsi qu'on peut évaluer la capacité d'emprunt des individus, comme des pays.  Vient aussi un point où il est plus simple d'oublier le prêt car la capacité de payer est nulle et qu'il vaut mieux donner par compassion, parce que cela est plus simple que de se créer mille misères à tenter de se faire rembourser, ou qu'on est pris à la gorge et y est forcé,,,


cantabile

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« Réponse #119 le: décembre 20, 2011, 09:21:21 am »
0
ok Sharl donne-moi donc 5000 $ de compassion. Merci.
Les gens....

Tam!

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« Réponse #120 le: décembre 20, 2011, 09:22:55 am »
0
Une "dette" n'est plus une "dette"


no-non...Une dette c'tune dette.
Ex-emo viré woke et pseudo-homo-sophistiqué avec le temps

MadChuck

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« Réponse #121 le: décembre 20, 2011, 10:12:30 am »
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Une "dette" n'est plus une "dette" lorsqu'elle se transforme en investissement sécuritaire et productif.

C'est ce qui a fait défault.

Tant que la somme des prêts est inférieur ou égal a la richesse créer par ceux-ci il n'y pas de problème (et pas vraiment d'inflation), mais arriver à assurer ça, ça doit vraiment pas être évident.

sharl

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« Réponse #122 le: décembre 20, 2011, 10:18:44 am »
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C'est pourtant ce qui a fait que le capitalisme ne se soit pas encore écroulé. Mais faut dire qu'il vascille présentement,,,

MadChuck

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« Réponse #123 le: décembre 20, 2011, 10:23:18 am »
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C'est pourtant ce qui a fait que le capitalisme ne se soit pas encore écroulé. Mais faut dire qu'il vascille présentement,,,

Tant que l'argent prété créer de la richesse tous va bien, surtout si elle en crée plus, il y a déflation et l'état peut facilement se financer en créeant de la monnaie (une espèce d'impôt douce sur tous ceux qui ont de l'argent).

Mais quand l'argent emprunté sert a dépense en santé comme aujourd'hui, y'a probablement moins de richesse de créer que de dollar investit, même chose avec la mafia.

Pis en passant une dette stune dette.

sharl

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« Réponse #124 le: décembre 20, 2011, 10:49:14 am »
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Une dette c'est une dette, tu dis.

Disons que tu as 5000$ et tu le places dans un CPG. Pour toi, c'est un investissement.

La banque prête ce 5000$ à Monsieur/Madame X, c'est un prêt. Quant à X, il a maintenant une dette.

Donc, le même 5000$ est à la fois: investissement, prêt et dette.

MadChuck

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« Réponse #125 le: décembre 20, 2011, 11:01:37 am »
0
Une dette c'est une dette.

Une pomme est a la fois fruit, paquet de cellule, une pomme stune pomme.

Les banque ne prêtent pas l'argent que tu places a d'autre en passant, ça ne fonctionne pas exactement comme ça (pas directement).

Mais la dette de Monsieur/Madame X, stune dette, pis une dette stune dette.

Tu peux avoir de mauvaise dette, de meilleur dette, de très bonne dette, mais une dette stune dette.

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« Réponse #126 le: décembre 20, 2011, 12:47:38 pm »
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Feck une dette stune dette ? C'est ça qu'il faut retenir ?
A

MadChuck

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« Réponse #127 le: décembre 20, 2011, 12:49:43 pm »
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Feck une dette stune dette ? C'est ça qu'il faut retenir ?

Non qu'il est important que l'ensemble des dettes crée soit inférieur ou égal a l'ensemble des richesses créer grâce a celle-ci (idéalement)

Et qui est plus que normal dans un monde ou l'on passe absolument toujours par le financement que ceux qui ont le capital a investir fasse beaucoup d'argent.

http://www.lepoint.fr/economie/emmanuel-todd-annulons-la-dette-du-vieux-monde-13-12-2011-1406951_28.php

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« Réponse #128 le: décembre 20, 2011, 12:56:49 pm »
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Eille ! Imaginez deux secondes en Amérique, un génocide majeur comme au Rwanda !  Des milliers voir des millions de personnes meurent !  Comment les banques se rembourseraient-elle ?  Ha oui les assurances-vie.  Je doute que ça couvre les génocides mais bon ...

Si au tiers-monde, la vie ne vaut rien, ici elle vaut nos dettes !

Ok j'ai switché endettement d'un pays à endettement personnelle mais bon ..
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« Réponse #129 le: décembre 20, 2011, 01:05:00 pm »
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Titoine19

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« Réponse #130 le: décembre 20, 2011, 01:27:14 pm »
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Le Jam

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« Réponse #131 le: décembre 20, 2011, 01:39:58 pm »
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Eille ! Imaginez deux secondes en Amérique, un génocide majeur comme au Rwanda !  Des milliers voir des millions de personnes meurent !  Comment les banques se rembourseraient-elle ?  Ha oui les assurances-vie.  Je doute que ça couvre les génocides mais bon ...

Si au tiers-monde, la vie ne vaut rien, ici elle vaut nos dettes !

Ok j'ai switché endettement d'un pays à endettement personnelle mais bon ..

regarde bien ta police d'assurance, les assurances ne remboursent pas les actes de guerre.
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Tam

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« Réponse #132 le: décembre 25, 2011, 01:02:13 pm »
0
Parce que c'est Noël.

Selon Yahoo! si je voulais offrir à quelqu'un toutes les choses mentionnées dans "12 Days of Christmas" il m'en couterait 101,119$, soit une augmentation de 4,4% sur l'année dernière.

C'est la faute des "swans-a-swimming" pour lesquels le prix aurait bondit de plus de 12% en un an!

http://money.msn.com/saving-money-tips/post.aspx?post=4881bf7e-494c-45e5-a0b3-9e1b554f9f19

sharl

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« Réponse #133 le: mars 06, 2012, 11:36:29 am »
0
J'ai entendu un truc pas mal intéressant aujourd'hui.

On faisait une analogie entre la situation économique en Europe (ex. Allemagne versus Grèce ou Espagne) et la situation économique au Canada (ex. Alberta versus le Québec ou l'Ontario).

Dans un même ensemble, une région riche et une région pauvre.

Ainsi l'Alberta avec son pétrole va très bien et profite d'un dollar fort, alors que des provinces dont l'économie repose sur l'industrie, comme l'Ontario ou le Québec, sont en situation précaire et souffrent d'un dollar fort. .

MadChuck

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« Réponse #134 le: mars 06, 2012, 11:46:45 am »
0
C'est un problème avec le concept un peu niaiseux de nation et de diviser toute avec des nations/états, au lieu d'avoir des régions économiques logiques, c'est bien pire en Afrique.


sharl

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« Réponse #135 le: mars 06, 2012, 08:24:47 pm »
0
Intéressant.

Ceux qui sous-estiment le mélange explosif que forment les coûts de sauvetage accrus et le ressac géopolitique qui suivrait une défaillance désordonnée de la Grèce et sa sortie de la zone euro le font à leurs risques et périls.
 
C’est l’avis de l’analyste géopolitique Pierre Fournier, de la Banque Nationale, qui énumère aujourd’hui par ordre chronologique les 12 conséquences d’une faillite de la Grèce et de son exclusion de la zone euro.

1. Les créanciers de la Grèce seraient forcés d’accepter des décotes de 80 à 90%.
 
2. Les pays créditeurs seraient contraints d’honorer leurs garanties à l’égard du fonds de secours et de recapitaliser la BCE. Et cela, après avoir longtemps assuré à leurs populations que ce scénario ne se produirait jamais, ce qui attiserait l’hostilité grandissante à l’endroit des partis au pouvoir et des élites politiques de l’UE.
 
3. Les banques européennes seraient exposées à des niveaux encore plus élevés de pertes des secteurs public et privé. Après être venues au secours de pays lourdement endettés, elles seraient forcées de secourir des banquiers impopulaires sur le plan politique.
 
4. L’attention des marchés se tournerait immédiatement vers le prochain maillon faible: le Portugal. Redoutant un défaut de paiement, les investisseurs se mettraient à vendre massivement leurs titres de créance portugais.
 
5. Les contrôles des mouvements des capitaux mis en place par la Grèce après sa faillite et sa sortie de la zone euro seraient vus par les Portugais et par d’autres comme un signal impérieux de retirer leur argent de leurs banques tant qu’ils le peuvent encore. Cette panique serait accentuée par la vue de voitures et de bateaux que l’on fouille dans les ports et aux frontières pour empêcher les Grecs de fuir le pays en emportant des euros.
 
6. Pour limiter la contagion, l’UE serait forcée d’échafauder un deuxième plan de sauvetage, cette fois pour le Portugal.
 
7. Le fonds de secours ou la BCE, voire les deux, seraient contraints d’acheter des obligations espagnoles et italiennes en grande quantité pour empêcher leurs taux de monter en flèche. Fortement exposée au Portugal, l’Espagne en souffrirait particulièrement.
 
8. L’effondrement de la Grèce, le ralentissement économique au sein de l’UE et les pressions du public sur la scène intérieure conduiraient les gouvernements de l’Irlande et du Portugal à exercer plus de pression en faveur de la radiation partielle de dettes. Cela irait à l’encontre des promesses faites par l’Allemagne, la France et d’autres pays que l’annulation partielle des dettes accordée à la Grèce serait un cas unique.
 
9. Même en faillite, la Grèce aurait encore besoin d’une aide financière importante, car la drachme ne serait pas immédiatement acceptée comme moyen de paiement hors du pays. La Grèce aurait donc besoin de l’aide de l’UE ou du Fonds monétaire international (FMI) pour régler ses importations d’aliments, de médicaments et d’énergie, ainsi que pour recapitaliser son système bancaire. Les citoyens des pays créditeurs seraient encore plus en colère lorsqu’ils constateraient que leurs impôts continuent d’être envoyés à la Grèce même après sa faillite.
 
10. L’appel à des fonds supplémentaires pour calmer les marchés coïnciderait avec des niveaux record d’opposition à de nouveaux sauvetages dans les pays créditeurs. Déjà supérieure à 60% en Allemagne et aux Pays-Bas, par exemple, l’opposition aux sauvetages grimperait à plus de 80% après l’effondrement de la Grèce. Puisque tout le temps et l’argent investis pour sauver ce pays l’auraient été en vain, bien peu de gens seraient favorables à ce que l’on recommence tout le processus pour le Portugal et pour d’autres.
 
11. Les appuis à d’anciens partis marginaux anti-UE, à l’extrême gauche ou à l’extrême droite, augmenteraient fortement, ce qui entraînerait l’éclatement des coalitions gouvernementales en Finlande et aux Pays-Bas.
 
12. L’effondrement de la Grèce et la détérioration de la conjoncture en Europe conduiraient l’Italie, l’Espagne et même la France à mettre ouvertement en doute la sagesse de l’approche d’austérité défendue par l’Allemagne. Ces pays feraient probablement ensemble pression sur l’Allemagne afin qu’elle assouplisse sa politique consistant à consentir de l’aide en échange de mesures d’austérité sévères. Il deviendrait d’autant plus difficile pour les pays de l’UE de trouver un terrain d’entente.


The-NazZ

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #137 le: mars 14, 2012, 01:27:03 pm »
0
Une lettre qui fait jaser aujourd'hui. Greg Smith annonçait ce matin dans une lettre publiée dans le New York Times qu'il quitte Goldman Sachs. L'homme travaillait pour la boîte depuis 12 ans et était directeur exécutif au moment de son départ.

Court extrait:

"To put the problem in the simplest terms, the interests of the client continue to be sidelined in the way the firm operates and thinks about making money. Goldman Sachs is one of the world’s largest and most important investment banks and it is too integral to global finance to continue to act this way. The firm has veered so far from the place I joined right out of college that I can no longer in good conscience say that I identify with what it stands for.

It might sound surprising to a skeptical public, but culture was always a vital part of Goldman Sachs’s success. It revolved around teamwork, integrity, a spirit of humility, and always doing right by our clients. The culture was the secret sauce that made this place great and allowed us to earn our clients’ trust for 143 years. It wasn’t just about making money; this alone will not sustain a firm for so long. It had something to do with pride and belief in the organization. I am sad to say that I look around today and see virtually no trace of the culture that made me love working for this firm for many years. I no longer have the pride, or the belief.

[...]

What are three quick ways to become a leader? a) Execute on the firm’s “axes,” which is Goldman-speak for persuading your clients to invest in the stocks or other products that we are trying to get rid of because they are not seen as having a lot of potential profit. b) “Hunt Elephants.” In English: get your clients — some of whom are sophisticated, and some of whom aren’t — to trade whatever will bring the biggest profit to Goldman. Call me old-fashioned, but I don’t like selling my clients a product that is wrong for them. c) Find yourself sitting in a seat where your job is to trade any illiquid, opaque product with a three-letter acronym.

[...]

I hope this can be a wake-up call to the board of directors. Make the client the focal point of your business again. Without clients you will not make money. In fact, you will not exist. Weed out the morally bankrupt people, no matter how much money they make for the firm. And get the culture right again, so people want to work here for the right reasons. People who care only about making money will not sustain this firm — or the trust of its clients — for very much longer."

http://www.nytimes.com/2012/03/14/opinion/why-i-am-leaving-goldman-sachs.html?pagewanted=1&hp
« Modifié: mars 14, 2012, 02:35:04 pm par The-NazZ »

sharl

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #138 le: mars 14, 2012, 09:19:14 pm »
0
Si vous saviez... mais je ne peux pas parler,,,

Pour ce que je peux dire, c'est qu'il n'y a presque plus rien à faire sur le plan de la gestion du patrimoine. Pas surprenant que les régimes de retraite sont à la dérive.

Placements garantis. Les taux sont quasiment à zéro et sous zéro si on tient compte de l'inflation et c'est pis encore après impôt sur les maigres gains réalisés.

Obligations. Rien à faire, insignifiants sur le long terme (10-30 ans) et sur le court terme les taux sont encore plus insignifiants et il y aura une perte en capitale pour peu que les taux finissent par grimper car il faudra combler la différence entre les taux maigrichons actuels et les taux à venir qui ne pourront qu'être supérieurs ceux actuels étant au plancher.

Actions. Là c'est un bordel inimaginable. Le royaume de la spéculation pure. Avec les options, on vend des actions qu'on n'a pas dans l'espoir de les racheter lorsqu'elles seront moins chères. Après la fermeture des marchés une société annonce qu'elle va diluer ses actions ce qui entraîne une perte. Une autre annonce que son chiffre d'affaire est de 25% inférieur à celui de l'années précédente... l'action chute, mais une rumeur courre que la société sera achetée et voilà que la même action bondit de de 35% en une seconde. Subitement, l'action d'une société cesse d'être transigée car son rapport n'est pas conforme et à parier qu'elle perdra 50% de sa valeur lorsqu'elle sera à nouveau transigée. Une minière annonce que la teneur en or d'une mégamine qu'elle a acheté est inférieure à ce qu'on croyait. Prenons les Pages Jaunes que tous connaissent, le prix de l'action a perdu plus de 90% de sa valeur en un an. A peu près la même chose pour le fabrican du Blackberry. Et cette liste pourrait se poursuivre sur des pages et des pages.

Sans parler de l'immobilier. Et attention à ceux qui ont acheté un condo car les règles vont changer drastiquement au cours des prochaines semaines et il est à prévoir que les prix vont chuter fortement.

En somme, il est finalement impossible de faire fructifier son bas de laine qui risque de rapidement rétrécir comme peau de chagrin   

Splatch...

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #139 le: mars 14, 2012, 09:25:45 pm »
0
Si vous saviez... mais je ne peux pas parler,,,  

 :smiley36:

Mytho va !

El Kabong

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Les infaillibles en récession?
« Réponse #140 le: septembre 06, 2014, 03:04:51 pm »
+1
NON!!!

Mes chers médias de merde me l'avait pas dit!


Citer
Puisse la récession aux Etats-Unis nous débarrasser de l’arrogance de Washington !

Le chiffre définitif de la croissance réelle du PIB des Etats-Unis pour le premier trimestre 2014 est tombé le 25 juin : pas de progression de 2,6%, comme l’avaient prédit en janvier les économistes qui ne savent rien, mais une baisse du PIB de 2,9%.

Cette croissance négative de -2,9% est en elle-même un euphémisme car, si l’on obtient ce chiffre en déduisant l’inflation du PIB nominal, la mesure de l’inflation est minimisée. Durant les années Clinton, la Commission Boskin a truqué la mesure de l’inflation afin de tromper les bénéficiaires de l’aide sociale sur les ajustements indiciels. Quiconque achète des aliments, du carburant ou autre chose sait que l’inflation est beaucoup plus élevée que le chiffre officiel, et il se peut que la chute du PIB au premier trimestre soit trois fois supérieure au chiffre officiel. Néanmoins, la différence entre la prévision de janvier (+2,6%) et la récession à fin mars (-2,9%) est déjà importante.

Tout véritable économiste (c’est-à-dire qui n’est pas rémunéré par Wall Street, le gouvernement fédéral ou l’Establishment) savait que cette prévision de +2,6% était du pipeau. Les revenus des Américains n’ont pas augmenté, à l’exception de ceux des plus riches (le fameux 1% de la population), et l’unique croissance du crédit concerne les prêts aux étudiants, alors que tous ceux qui ne peuvent trouver un emploi se tournent à tort vers « l’éducation est la solution ».

Dans une économie basée sur la consommation, l’absence de croissance des revenus et du crédit signifie aucune croissance économique. L’économie des Etats-Unis ne peut pas croître parce que les grandes entreprises, poussées par Wall Street, ont délocalisé l’économie. Les produits manufacturés américains sont fabriqués à l’étranger.

Regardez les étiquettes sur vos vêtements, vos chaussures, votre vaisselle et vos casseroles, vos ordinateurs, etc. ! Les emplois américains qualifiés, comme dans l’ingénierie informatique, ont été déplacés à l’étranger. Une économie délocalisée n’est pas une économie. Tout cela s’est déroulé à la vue de tous, tandis que les comparses grassement payés du libéralisme déclaraient que les Américains étaient bénéficiaires de ce système qui donnait les emplois de la classe moyenne aux Chinois ou aux Indiens.

Cela fait près de 20 ans que j’expose ces mensonges, raison pour laquelle je ne suis plus invité à m’exprimer dans les universités américaines ou devant les associations économiques américaines. Les économistes adorent l’argent qu’ils reçoivent pour mentir. Ils ne veulent surtout pas parmi eux d’une personne qui dit la vérité.

Une baisse officielle de 2,9% au premier trimestre implique une baisse du PIB pour le deuxième trimestre. Deux baisses consécutives est la définition d’une récession.

Imaginez les conséquences d’une récession. Cela signifie que les années d’assouplissement quantitatif sans précédent n’ont pas réussi à ranimer l’économie. Cela veut dire que les années de déficits budgétaires keynésiens n’ont pas réussi à ranimer l’économie. Ni la politique budgétaire ni la politique monétaire n’ont marché.

Alors, qu’est-ce qui pourrait ranimer l’économie ? Rien, à part le retour forcé de l’économie que les grandes entreprises anti-américaines ont déménagée à l’étranger. Mais pour se faire, il faudrait un gouvernement crédible. Malheureusement, le gouvernement américain a perdu toute crédibilité. Depuis le deuxième mandat du régime de Clinton [1996], il n’en a plus.

Aujourd’hui, personne dans le monde ne croit plus le gouvernement américain, à l’exception des Américains eux-mêmes, qui lisent et écoutent les « médias du courant dominants » et qui sont en état de mort cérébrale . La propagande de Washington règne sur les esprits des Américains, mais ne produit que railleries et mépris partout ailleurs.Puisse la récession aux Etats-Unis nous débarrasser de l’arrogance de Washington ! Les mauvaises perspectives économiques ont conduit les deux plus grands lobbies d’entreprises des Etats-Unis - la Chambre de commerce des Etats-Unis et la National Association of Manufacturers (ou ce qu’il en reste) à entrer en conflit avec la menace du régime d’Obama de nouvelles sanctions contre la Russie.

Selon Bloomberg News, à partir du 26 juin, ces groupements d’entreprises publieront des publicités dans le New York Times, le Wall Street Journal et le Washington Post s’opposant à de nouvelles sanctions contre la Russie. Les associations d’entreprises américaines disent que ces sanctions nuiront à leurs profits et entraîneront de nouveaux licenciements.

Donc, les deux plus grandes associations d’entreprises des Etats-Unis, sources importantes de financement pour les campagnes électorales, ont finalement ajouté leurs voix à celles des entreprises allemandes, françaises et italiennes.

Tout le monde, à part le peuple américain dont le cerveau a été lavé, sait que cette « crise en Ukraine » est entièrement l’œuvre de Washington. Les entreprises américaines et européennes demandent : « Pourquoi nos profits et nos employés devraient-ils encaisser les coups au nom de la propagande de Washington contre la Russie ? »

Obama n’a aucune réponse. Peut-être ses raclures néoconservatrices de Victoria Nuland, Samantha Powers et Susan Rice peuvent-elles trouver une réponse ? Obama peut se tourner vers le New York Times, le Washington Post, le Wall Street Journal et le Weekly Standard pour expliquer pourquoi des millions d’Américains et d’Européens devraient souffrir afin que le vol de l’Ukraine par Washington ne soit pas compromis.

Les mensonges de Washington rattrapent Obama. Angela Merkel, la Chancelière allemande, a beau être la putain absolue de Washington, l’industrie allemande dit à la pute de Washington que leurs affaires avec la Russie leur importent plus que de souffrir pour le compte de l’empire washingtonien. Les chefs d’entreprises français demandent à François Hollande ce qu’il propose de faire de leurs employés au chômage s’il suit Washington. Les entreprises italiennes rappellent à leur gouvernement, dans la mesure où l’Italie en a encore un, que ces rustres d’Américains n’ont aucun goût et que les sanctions contre la Russie signifient un coup dur porté au secteur économique le plus reconnu d’Italie - ses produits de grand luxe.

Le désaccord avec Washington et les deux grands dirigeants fantoches de l’Europe se creuse.

Le dernier sondage en Allemagne révèle que les trois-quarts de la population allemande rejettent les bases permanentes de l’Otan en Pologne et dans les Etats baltes. L’ancienne Tchécoslovaquie, la Slovaquie et la République Tchèque, bien qu’Etats membres de l’Otan, ont rejeté l’installation de troupes et de bases américaines et de l’Otan sur leurs territoires. Dernièrement, un ministre allemand a déclaré que pour plaire à Washington, il fallait lui faire une pipe à l’œil et ne rien attendre en retour.

Les pressions qu’exercent les crétins de Washington sur l’Otan pourraient faire voler l’organisation en éclats. Prions pour que cela se produise ! L’excuse de l’Otan pour justifier son existence a disparue avec l’effondrement de l’Union soviétique, il y a 23 ans. Pourtant, Washington a accru la présence de l’Otan bien au delà des frontières de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord. A présent, l’Otan s’étend de la Baltique à l’Asie Centrale.

Afin de justifier la poursuite des opérations coûteuses de l’Otan, Washington a dû se fabriquer un ennemi avec la Russie.

La Russie n’a aucune intention d’être l’ennemie de Washington ou de l’Otan et l’a bien fait savoir. Mais le complexe militaro-sécuritaire de Washington, qui absorbe environ 1.000 milliards de dollars par an de l’argent des contribuables en difficulté, a besoin d’une justification pour maintenir le flux de ses profits.

Malheureusement, les imbéciles à Washington ont choisi un ennemi dangereux. La Russie est une puissance nucléaire, un pays aux vastes dimensions et qui dispose d’une alliance stratégique avec la Chine.

Seul un gouvernement submergé d’arrogance et d’hubris, dirigé par des psychopathes et des sociopathes, choisirait un tel ennemi.


Le président russe, Vladimir Poutine, a fait remarquer à l’Europe que la politique de Washington au Proche-Orient et en Libye est non seulement un échec complet mais qu’elle a également des retombées dévastatrices pour l’Europe et la Russie. Les fous à Washington ont renversé les gouvernements qui réprimaient les Djihadistes. A présent, les Djihadistes violents sont lâchés. Au Proche-Orient, ils sont à l’œuvre pour redessiner les frontières artificielles établies par les Anglais et les Français dans le sillage de la Première Guerre mondiale.

L’Europe, la Russie et la Chine ont des populations musulmanes et ont des raisons de s’inquiéter, maintenant que la violence libérée par Washington pourrait apporter la déstabilisation de régions entières d’Europe, de Russie et de Chine.

Personne, nulle part dans le monde, n’a de raison d’aimer Washington. Personne ! Et encore moins les Américains qui sont saignés à blanc afin que Washington puisse faire étalage de sa force militaire sur toute la planète. La cote de popularité d’Obama est à un lamentable 41% et personne ne veut qu’Obama reste à son poste une fois son second mandat terminé. En contraste, les deux-tiers de la population russe veulent que Poutine reste président après 2018.

En mars, l’agence de sondages Public Opinion Research Center a publié un rapport montrant que la cote de popularité de Poutine se maintenait à 76% malgré l’agitation fomentée contre lui par les ONG russes financées par les Etats-Unis - des centaines d’institutions de la cinquième colonne que Washington a établies durant les deux dernières décennies.

En plus des problèmes politiques des Etats-Unis, le dollar américain a du souci à se faire. Le dollar est maintenu à flot par des marchés financiers manipulés et la pression que Washington exerce sur ses vassaux. Ils doivent faire tourner leurs propres planches à billet afin de soutenir la valeur de la devise américaine en achetant des dollars. Pour maintenir le dollar à flot, une grande partie du monde connaîtra l’inflation monétaire. Lorsque les gens finiront par piger et se rueront sur l’or, ils s’apercevront que les Chinois ont tout pris.

Sergueï Glazyev, un conseiller de Poutine, a dit au président russe que seule une alliance contre le dollar pour qu’il s’effondre pourrait arrêter l’agression de Washington. C’est mon opinion depuis longtemps. Il ne peut y avoir de paix tant que Washington peut créer à volonté de la monnaie pour financer plus de guerres.

Ainsi que le gouvernement chinois l’a déclaré, il est temps de « désaméricaniser le monde ». Le pouvoir à Washington a totalement déçu, ne produisant rien d’autre que des mensonges, de la violence, de la mort et la promesse de plus de violence. Les Etats-Unis d’Amérique n’ont d’exceptionnel que le fait que Washington a, sans aucun remords, détruit en tout ou partie sept pays depuis le début du 21ème siècle. A moins que le pouvoir à Washington ne soit remplacé par des dirigeants plus humains, le vie sur terre n’a aucun avenir.

Paul Craig Roberts a été vice-ministre des Finances sous Reagan, il a été chroniqueur et rédacteur en chef au Wall Street Journal.

Paul Craig Roberts
Foreign Policy Journal, 27 juin 2014

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M. Bonheur

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« Réponse #141 le: septembre 06, 2014, 04:05:28 pm »
0
Alors, pour toi, un média "non de merde", c'est un média qui relate une nouvelle avec un biais et de manière subjective?
Le message ci-haut est une boutade.

Evergreen Terra

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #142 le: septembre 07, 2014, 06:54:50 am »
0
Pourtant, la chute du PIB américain au premier trimestre était attendue par tout le monde. Il n'y a aucune surprise ici. La cause est également connue de tout le monde : l'intense froid qui s'est abattu sur l'Amérique du Nord cet hiver et qui a paralysé une partie de l'activité économique.


Pour le reste, c'est une interprétation fantaisiste de la situation. Va demander aux Polonais s'ils souhaitent que l'OTAN s'en aille et qu'ils se retrouvent sans défense face à la Russie ? Les pays de l'OTAN ne veulent plus intervenir nul part, à part pour des frappes aériennes limitées. Jamais ils ne voudraient envoyer des soldats au loin sans bonne raison. C'est véritablement la Russie qui a des visées expansionnistes.     

sharl

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #143 le: septembre 07, 2014, 08:25:43 am »
0
C'est quand même vrai que l'Aigle américain n'a plus aucune altitude et n'est plus que l'ombre de lui-même dans ce marais glauque qu'est devenu Washington, où la mafia des lobbies tire les ficelles du pouvoir.

C'est aussi vrai que l'économie américaine  est sous le respirateur artificiel de la Réserve américaine qui n'a cessé depuis plus d'un an de lui pomper des milliards et des milliards de dollars pour la garder en vie. Ce qui finalement n'aura profiter qu'aux spéculateurs en Bourse et bien peu à l'économie réelle.

Il est presque certain que l'Américain né aujourd'hui aura un avenir moins luisant que ses parents.

Personne ne carbure plus au "Rêve américain".   

Les USA restent un état grand, mais plus grand état.

El Kabong

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« Réponse #144 le: septembre 10, 2014, 07:42:38 pm »
+1
Alors, pour toi, un média "non de merde", c'est un média qui relate une nouvelle avec un biais et de manière subjective?
L'indépendance d'esprit est capable de considérer plusieurs points de vue, de les exposer et de faire une analyse.

Où est-ce que t'a vu ça icitte au Québec?
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El Kabong

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« Réponse #145 le: septembre 10, 2014, 07:54:28 pm »
+1
Pourtant, la chute du PIB américain au premier trimestre était attendue par tout le monde. Il n'y a aucune surprise ici. La cause est également connue de tout le monde : l'intense froid qui s'est abattu sur l'Amérique du Nord cet hiver et qui a paralysé une partie de l'activité économique.
Je ne me souviens pas d'avoir lu ou entendu une telle nouvelle icitte.
Et puis, cette chute était largement différente des prévisions des super-cerveaux de l'économie des USA.
Alors, qui s'attendait à une chute?
Le général Hiver a paralysé l'économie?
Faudrait discuter de ça avec les norvégiens ou les russes.

Moi, je crois que les bandits-à-cravate qui vendent des canons ont besoin de toute urgence d'une guerre afin de faire remonter leurs actions en bourse.  Car pour nos économistes bien gras:  L'économie va bien si la Bourse va bien!

Aberrant.

Et maintenant...
Comment dire une chose et son contraire:


Pour le reste, c'est une interprétation fantaisiste de la situation. Va demander aux Polonais s'ils souhaitent que l'OTAN s'en aille et qu'ils se retrouvent sans défense face à la Russie ? Les pays de l'OTAN ne veulent plus intervenir nul part, à part pour des frappes aériennes limitées. Jamais ils ne voudraient envoyer des soldats au loin sans bonne raison. C'est véritablement la Russie qui a des visées expansionnistes.   

L'OTAN veut pas intervenir?
Mais les polonais en ont absolument besoin!
Donc, les polonais ont besoin de l'OTAN, même s'ils savent qu'elle n'interviendra pas.
C'est clair!

La Russie a des visées expansionnistes?
OK!
Combien de bases militaires US en-dehors des USA?
Combien de bases russes en dehors de la Russie?
Est-ce assez clair?

Et puis, dekocéke tu veux que les russes fassent de la Pologne?
C'est un trou perdu où les ressources sont rares.
Il n'y rien que du cheap labour bon à faire baisser les salaires dans toute l'union européenne.
.
.
.
La croissance.
Quelle croissance?


Citer
Merci pour les 4% (factices) de PIB US, Mme Yellen !
01 août 2014 | Bill Bonner

? Les autorités américaines ont tiré un lapin de leur chapeau. Nous discutions hier midi avec notre collègue Simone Wapler, rédactrice en chef de La Stratégie de Simone Wapler.

"Je pense qu’il sera plus bas que prévu", lui avons-nous dit. "Ensuite il sera révisé à la baisse. Probablement négatif".

Nous nous trompions. Le chiffre du PIB américain annoncé mercredi par les autorités (nous) a surpris par sa vigueur. Quatre pour cent ! Ma parole, ça ressemble presque à un taux de croissance sain. Le premier trimestre a également été révisé à la hausse… de -2,9% à -2,1%. Qui plus est, le FOMC a déclaré qu’il continuerait de réduire le QE, n’achetant que pour 25 milliards de dollars d’obligations le mois prochain.

Eh bien. Que dire ? Les autorités avaient raison. Nous avions tort. La reprise est réelle ! L’économie américaine est en plein boom ! La planification centrale, ça fonctionne ! Maintenant, Janet Yellen peut rejoindre Ben Bernanke et Alan Greenspan en couverture du TIME — une grande héroïne, une Jeanne d’Arc du 21ème siècle.

Attendez une minute. En théorie, on ne peut pas créer de la véritable croissance en imprimant de la devise factice… et on ne peut fabriquer de la véritable demande en donnant cette devise aux gens. En théorie, on ne peut pas non plus créer de la véritable prospérité en faisant grimper le marché boursier ou en imposant plus de dettes, adossées à des nantissements qui ne valent pas vraiment ce qu’on pense qu’ils valent, à des gens qui ne peuvent pas rembourser. Aucune théorie ne nous dit non plus qu’on peut augmenter la véritable richesse sans épargner… et investir cet argent dans de nouvelles usines, de nouvelles machines, de nouvelles compétences et ainsi de suite.


Dans la mesure où ça ne peut pas fonctionner en théorie, nous sommes sceptique. Peut-être que ça n’a pas vraiment fonctionné en pratique non plus.

? Les questions qui fâchent
L’économie américaine est-elle vraiment en plein boom ? Améliore-t-elle vraiment le sort des gens ? En deux mots comme en cent : probablement pas.

Pour pleinement apprécier ce qui s’est passé, il nous faut reculer de sept ans et revenir au quatrième trimestre 2007. C’est à cette époque que la machine à crédit a commencé à hoqueter. Les mécanos de la Fed ont sorti la clé à molette et l’huile… et ils se sont mis au travail. Sauf qu’ils ne connaissent en réalité qu’un seul remède : ils ont simplement donné plus de carburant à la machine !

Abaissant les taux directeurs de 50 points de base, ils ont affirmé qu’ils avaient besoin de taux artificiellement bas pour "promouvoir une croissance modérée".

Durant les sept années suivantes, les autorités ont "stimulé" l’économie avec cet argent facile. Il a fallu autant de temps à Pharaon pour se préparer aux années maigres… en constituant des réserves de céréales. C’est aussi la durée des années maigres elles-mêmes.

Le programme contre-cyclique de Pharaon a été un grand succès. Le peuple de l’Egypte antique a vaincu la famine de l’Ancien testament. 3 000 ans plus tard, comment se débrouille l’équipe Bernanke/Yellen ?

Aujourd’hui, on compte aux Etats-Unis 3,7 millions d’emplois à temps plein en moins par rapport au moment où la relance a été mise en place. Les revenus des ménages, pour 99% de la population américaine, sont plus bas qu’en 2007. Le taux de croissance réelle sur les sept dernières années n’a été que de 0,9% par an. Ajustez ça à un taux d’inflation légèrement plus élevé, et la croissance économique réelle a été négative. Ajustez-le à la croissance démographique aussi et la "croissance" disparaît complètement.

Les salaires horaires réels n’ont pas grimpé d’un centime. L’investissement des entreprises est toujours 20% sous son niveau de 2007. Et 77 millions d’Américains ont des factures impayées en cours de recouvrement.

Ce succès — si on peut appeler ça comme ça — a été acheté, rappelez-vous, par le plus grand flot de liquidité depuis le Déluge. Tout cet argent bon marché a inondé l’économie… s’est infiltré dans toutes les transactions… a faussé et corrompu tous les signaux de prix.

Mais hé… le PIB se développe au taux de 4% ! (Sous condition de futures révisions, bien entendu.)

Vas-y, Janet… fonce !

Moi aussi j'aimerais bien imprimer de l'argent.  Ma bourse irait mieux et je pourrais afficher un taux d'excroissance cholestérolimique.
 :smiley30:


« Modifié: septembre 10, 2014, 08:13:26 pm par El Kabong »
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« Réponse #146 le: septembre 10, 2014, 08:30:35 pm »
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Le taux de croissance réelle sur les sept dernières années n’a été que de 0,9% par an. Ajustez ça à un taux d’inflation légèrement plus élevé, et la croissance économique réelle a été négative.

Le taux de croissance est toujours annualisé pour ne pas compté l'inflation (évidemment):
où les PIB sont mesurés en volume (pour éviter de considérer l'inflation des prix comme de la croissance économique). Ou ln (PIB annee N \ PIB annee N - 1).

Ensuite si on parle de croissance réelle, j'imagine que c'est parce qu'on rajoute encore d'autre facteur (outre l'inflation qui est jamais pris en compte dans aucune statistique sérieuse, jamais on l'enlève toujours le plus possible), comme la croissance de la population.

Tu peux lire ici:
http://www.banqueducanada.ca/grandes-fonctions/politique-monetaire/cadre-de-mise-en-oeuvre/les-mesures-de-la-croissance-economique/

Citer
Car pour nos économistes bien gras:  L'économie va bien si la Bourse va bien!

Bien sur que non et vice versa, la bourse peut mal aller et l'économie bien aller pour les économistes.

Citer
Le général Hiver a paralysé l'économie?
Faudrait discuter de ça avec les norvégiens ou les russes.

Voyons tu sais ce qu'il veut dire, à plusieurs reprise le verglas et des conditions exceptionnels (texas) dans des endroits peu habitués on paralyser des transports et des entreprises par moment, dans les endroits ou c'est bien prévu cela ne vient pas déjouer les prédictions, qui sont toujours que des prévisions Kabong.

Aussi on regarde souvent la croissance par capita (qui prend donc en compte et l'inflation et la croissance de la population), par exemple:
The GDP per capita is obtained by dividing the country’s gross domestic product, adjusted by inflation, by the total population

http://www.tradingeconomics.com/united-states/gdp-per-capita

El Kabong

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« Réponse #147 le: septembre 10, 2014, 08:33:22 pm »
+1
(...)

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Car pour nos économistes bien gras:  L'économie va bien si la Bourse va bien!

Bien sur que non et vice versa, la bourse peut mal aller et l'économie bien aller pour les économistes.

(...)

C'est pourtant le contraire qui nous est martelé sans cesse par nos "experts"!?!
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MadChuck

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #148 le: septembre 10, 2014, 08:45:52 pm »
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C'est pourtant le contraire qui nous est martelé sans cesse par nos "experts"!?!

Non il s’efforce habituellement à bien rappeler que le prix accordé aux revenus par les gens dans le temps est imprévisible, émotionnel, fonctionne par vague et ne représente pas l'économie réel.

Tu peux regarder par exemple ce ratio bouger beaucoup dans le temps :


Ce qui montre bien que la bourse ne suit pas 1:1 les revenus des entreprises et que ce ratio tant à revenir vers ça moyenne historique de 16 ou 17

Les économistes quand il parle d'économie qui va bien ou non parle beaucoup plus d'emploi créer/perdu, leur qualité, la croissance du pib, la construction, les investissements, etc... et ainsi de suite, rarement du cours de la bourse non ?

De quels économistes tu parles au juste ?

Johnny Clash

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Et si on parlait d'économie au lieu de dire des niaiseries
« Réponse #149 le: septembre 30, 2014, 09:43:15 am »
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Très court mais intéressant texte de Joseph Stiglitz : L'austérité a échoué
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