@ Splatch... et Temporel (et peut-être Fouinard et Currius):
Rien à faire, les gars, on est trop vieux...
Peut être...
Mais disons que je préfère jaser avec ma femme et des amis autour d'une bonne table plutôt que de le faire virtuellement dans le métro avec des gens que je ne connais ni des lèvres ni des dents...
En fait ouais ça doit être l'âge
Implicitement, c'était mon point.
J'ai un cell très "de base" dont je ne me sers que pour téléphoner ou garder un contact "au cas où" il m'arriverait des choses sur la route (à pied ou en autobus, dans les environs). Mes téléphones sont souvent très courts, du genre: "bon finalement, ce que tu m'as demandé de rapporter y'en a pas dans la couleur que tu veux, etc. je fais quoi ?" Réponse de l'autre au bout des ondes, puis smack smack au téléphone, je ferme le galet et retour aux activités initiales.
AVERTISSEMENT:
Le texte qui suit contient des préjugés: prove me wrong !Je comprends mal ceux qui sont branchés 24/24 7/7 à pitonner et "interagir" avec le 3/4 de la planète, qui sont toujours "occupés", qui communiquent constamment des bribes de pensées incomplètes, des one-liners qui flashent ou juste stupides. Attention,
je ne dis pas que ceux qui émettent des one-liners sont stupides, mais que souvent, les informations qu'ils émettent sont dénuées de sens immédiatement et pratiquement utilisable par l'ensemble des récepteurs. J'observe aussi souvent une absence de pudeur dans les communication médiées par les réseaux sociaux, comme si le fait que l'on doive interagir rapidement (...d'ailleurs, est-ce obligatoire ?) enlevait le recul critique requis pour analyser l'impact de cette communication sur la vie propre de l'émetteur (et quelquefois sur la vie d'une personne tierce dont il est question).
Enfin, j'disais ça d'même...